Dans la langue chinoise, il n’y a ni genre, ni conjugaison, de sorte que quand le poète dit qu’il regarde la montagne ou qu’il hume la fleur, il n’est pas certain que ce ne soit pas la montagne qui le regarde ou la fleur qui le hume.
À partir de l’image ci-dessous, deux interprétations proposées :
Interprétez-la au trait dans ses grandes lignes. Puis uniquement en aplats de couleurs, sans dégradés, pour identifier les couleurs principales : bleu, jaune, rouge, vert, brun, noir. Rajoutez les nuances à l’intérieur de chaque couleur au moyen d’autres aplats.
Deuxième interprétation : comme ça vient.
2 peintures de Ladin Sabras