Un champ de bataille hebdomadaire de 92 X 73 cm, ou un journal extime du même format, ou encore une fenêtre par où s’évader. Chaque semaine ou presque depuis plus de vingt ans, avec la régularité des saisons et le caractère imprévisible des intempéries, Christine Olivier fait s’affronter la blancheur d’une toile, aux couleurs turbulentes de l’acrylique et du papier collé. Combats brefs et répétés entre couleurs et formes, couleurs et couleurs, pleins et vides… Notes climatiques de l’humeur du jour… Échappées belles… La peinture de Christine Olivier est changeante comme le temps. Et toujours recommencée comme lui aussi.
(Cliquez sur les images pour les agrandir et les faire défiler)