Dans la tradition chinoise, le beau n’est pas une notion fondamentale ; en revanche, l’idéal artistique et esthétique est le « naturel » (ziran), c’est-à-dire ce qui advient sans cause ni raison ; celui-ci se manifeste dans le Yiheming par la simplicité et la maladresse du tracé, qui semble s’incarner de lui-même comme une empreinte ou une nervure dans la roche.
Commentaire de l’estampage (Song, XIe siècle) de L’inscription pour le deuil d’une grue Calligraphie attribuée à Tao Hongjing (514) par Yolaine Escande, calligraphe et sinologue, dans Les religions et leurs chef-d ‘œuvres, N° spécial Actualité des religions Automne 2000.
Préparez un mortier (blanc de Meudon, liant), étalez-le au couteau en suivant les grandes lignes de la photo ci-dessous. Sur le mortier ayant durci, posez des jus dans différentes nuances d’ocres et de gris. Puis, après séchage, brossez avec des contours nettement dessinés les zones les plus sombres (ombres, algues). Puis introduisez les nuances et les valeurs intermédiaires.
Ou, naturellement, faites tout autrement.
2 peintures sur mortier de Madeleine Gautier-Brun
2 peintures sur mortier de Joëlle Dampéront
🔷
Découvrir un nouvel écrivain - Fondation Veeska
Je viens de découvrir un nouvel écrivain, ça n'arrive pas tous les jours. Je l'ai découvert par hasard. En plus, c'est mon frère, Pierre Desvaux. En passant chez lui, je remarque sur une table...
https://www.veeska.com/2022/09/decouvrir-un-nouvel-ecrivain.html