Imiter la nature. Non pas, bien entendu, dans son apparence – effort du réalisme ingénu – mais dans son fonctionnement : utiliser le chaos, convoquer le hasard, insister sur l’imperceptible, privilégier l’inachevé. Faire alterner le fort, le viril, avec l’intermittent, le féminin. Théâtraliser l’ensemble des phénomènes. Oublier le reste. Mais le reste, il n’y en a pas.
Il faut descendre jusqu’au chaos primordial et s’y sentir chez soi.