Deux yeux, un nez, une bouche. Mais pas toujours. Une ressemblance. Mais pas toujours. Peindre un visage, une figure, ou un masque humanoïde plus ou moins étrange, c’est inviter dans le tableau une présence qui peut-être dérangeante. Difficile de n’y voir alors que « des formes et des couleurs dans un certain ordre assemblées » : la dimension expressive et psychologique persiste, même et surtout quand le dessin jette par-dessus bord toute intention réaliste.
Les peintures exposées dans les albums à ouvrir ci-dessous ont été faites en cours et en stages, selon des propositions décrites dans mes livres (Peindre en liberté n°1 et 2), et sur www.peindre-en-liberte.com (exercices n°6, 14, 25, 43).