Il y a souvent quelque chose de tremblé dans la peinture de Martine Smagghe. Une forme de tremblé qui pourrait évoquer le friselis du vent sur l’eau, sur une feuille, et d’ailleurs elle peint avec de la peinture à l’eau sur des feuilles. Et sans doute qu’elle emmène toujours un peu de vent avec elle pour donner ce mouvement à son pinceau, peut-être même utilise-t-elle des pinceaux à voile : la fantaisie de ses peintures le donne à penser. Aussi, ne les regardez pas de trop près, ni trop longtemps, sinon vous risquez de ressentir des chatouilles au niveau de l’œil, qui peuvent descendre jusqu’au cœur. Mais ça fait du bien.
Il y a souvent quelque chose de tremblé dans la peinture de Martine Smagghe. Une forme de tremblé qui pourrait évoquer le friselis du vent sur l’eau, sur une feuille, et d’ailleurs elle peint avec de la peinture à l’eau sur des feuilles. Et sans doute qu’elle emmène toujours un peu de vent avec elle pour donner ce mouvement à son pinceau, peut-être même utilise-t-elle des pinceaux à voile : la fantaisie de ses peintures le donne à penser. Aussi, ne les regardez pas de trop près, ni trop longtemps, sinon vous risquez de ressentir des chatouilles au niveau de l’œil, qui peuvent descendre jusqu’au cœur. Mais ça fait du bien.