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Exposition Peindre en liberté au Centre Maurice Ravel

14 Juin 2017, 08:10 Expositions

D’où vient la peinture ? De rencontres entre le réel, la matière et la couleur ; entre les mots, les gestes et les outils ; entre les idées et la sensibilité ; de rencontres entre les personnes aussi...

L'exposition est terminée, mais vous pouvoir voir quelques peintures plus bas dans la page :
 

 

Peintures de Chantal Lévêque, Eric Mourou, Gisèle Dubois, Jean-Jacques Siamer, Ladin Sabras, Lucienne Cywier, Madeleine Gautier-Brun, Yolande Bernard.

Exposition Peindre en liberté au Centre Maurice Ravel

 

Ci-dessous, quelques-unes des peintures exposées.

Peinture de Yolande Bernard

Peinture de Yolande Bernard

Peinture de Chantal Lévêque

Peinture de Chantal Lévêque

Peinture d'Eric Mourou

Peinture d'Eric Mourou

Peinture et collage de Gisèle Dubois

Peinture et collage de Gisèle Dubois

Dessin de Jean-Jacques Siamer

Dessin de Jean-Jacques Siamer

Peinture de Ladin Sabras

Peinture de Ladin Sabras

Peinture de Lucienne Cywier

Peinture de Lucienne Cywier

Peinture de Madeleine Gautier-Brun

Peinture de Madeleine Gautier-Brun

Autres expositions Peindre en liberté 2017 :

A l'Espace Beaujon, Paris 8e

A l'Hôtel de Ville de La Garenne-Colombes

Nous sommes quelques-uns à savoir tout le bien que nous trouvons dans la pratique de la peinture. Mais pas n’importe quelle pratique. Nous voulons peindre comme en 2017 — ça tombe bien, nous y sommes — c’est-à-dire faire de la résistance dans un monde dominé par l’abus d’image, la surabondance technologique, l’enthousiasme productiviste. Stop. C’est bien, la vitesse, l’efficacité et tout, mais parfois on a envie de prendre un chemin de traverse, d’une manière ou d’une autre, et la peinture est un bon chemin. On prend du papier ou de la toile, des pigments et un liant, quelques poils rudes ou doux au bout d’un manche, brosse ou pinceau, de l’eau, une lame de couteau, du temps devant soi et de la bonne compagnie.
Peindre en liberté, pour nous, c’est cela : le goût de la matière que l’on touche, des formes que l’on transforme, des idées qu’on laisse nous surprendre. Le goût de l’outil simple et beau, de la spéculation poétique, des gestes gratuits. Le désir d’apprendre à créer ses propres lois en peinture, et de les rendre de plus en plus justes. De la technique bien terrienne et des idées agiles qui galopent dessus

Yves Desvaux Veeska, réédition d'un texte de janvier 2001

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